Avocat en droit des victimes à Marseille
Maître Nina NETTINGSMEIER, avocat installé à Marseille, vient en aide aux victimes de préjudices corporels, moraux et financiers, subis à la suite :
- d'un accident de la route
- d'une agression ou des violences
- d'un accident du travail ou d'une maladie professionnelle
- d'un accident médical, d'une erreur médicale, d'une faute médicale, d'une infection nosocomiale
- d'un accident de vie courante : accident scolaire, accident de sport, chute en extérieur (grande surface, trottoir, transports en commun...)
Obtenir des dommages et intérêts
Trop souvent, les victimes d'accidents ignorent qu'elles peuvent obtenir des dommages et intérêts pour compenser leurs préjudices.
Quelques soient les faits dont vous avez été victime, à partir du moment où vous avez subi des préjudices, quelque soit leur gravité, il convient de prendre conseil auprès d'un avocat en droit des victimes pour savoir si vous pouvez obtenir l'indemnisation de vos préjudices par le versement de dommages et intérêts.
Maître Nina NETTINGSMEIER, avocat des victimes à Marseille, intervient depuis de nombreuses années dans le soutien, l'accompagnement et l'aide aux victimes afin de leurs garantir la reconnaissance de l'ensemble de leurs dommages corporels, psychologiques, économiques et financiers.
Un avocat pour votre procédure d'indemnisation
La procédure d'indemnisation, qu'elle soit amiable ou judiciaire, est complexe et technique et les victimes et leurs proches se trouvent souvent vulnérables et démunies.
L'expérience de votre avocat est déterminante pour évaluer au mieux vos préjudices, faire entendre votre voix durant la phase d'expertise médicale et obtenir l'indemnisation totale de vos préjudices dans le cadre de la négociation avec les compagnies d'assurance, soit devant les tribunaux.
Avocat à Marseille, Maître Nina NETTINGSMEIER intervient dans toute la France auprès des victimes d'accidents ou d'agressions. Contactez son cabinet pour prendre rendez-vous.
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DROIT DU TRAVAIL – HARCELEMENT MORAL
Conseil de Prud-hommes : la preuve du harcèlement moral